Modeste Boukadia

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mardi, mars 14 2023

Modeste Boukadia, l’homme, le projet

ModesteLoufoulakari

Mes Ami(e)s, Sympathisant(e)s et Citoyen(ne)s Congolais(e)s, je vous dois la Vérité.

Tout d'abord sachez que tous mes Ancêtres et mes Parents sont nés, ont vécu et sont restés ancrés dans la Terre de notre Congo ; et dans la Tradition Familiale, mes Parents m'ont fait naître dans cette même Terre, qui nous est si chère, à Koungou-Koubola, district de Goma Tsé-Tsé (Congo-Brazzaville) le 15 juin 1954 en choisissant et sélectionnant le prénom Modeste.

Pour quelles raisons mes Parents ont-ils fait ce choix ? Ils souhaitaient et voulaient des Enfants calmes, courageux et déterminés. Et ces qualités, au regard des durs évènements que j'ai vécus et que certains m'ont fait subir, je rejoins totalement leurs choix car il est vrai qu'être :

1/ calme : je le suis quelques soient les circonstances et les évènements rencontrés et affrontés

2/ courageux : je le prétends car, durant de très longs mois, j'ai enduré un emprisonnement accompagné de sévices que je ne souhaite à personne de subir ; d'ailleurs, il faut préciser que cet emprisonnement était tout à fait arbitraire, injustifié et imprévu, puisque mon Epouse, le Docteur Nadine Boukadia, était à mes côtés pour accompagner ma Mère à sa dernière Demeure

3/ déterminé : c'est l'un des fondements de mon obstination à redonner à notre Pays, l'aura et le prestige qui le faisait rayonner dans un grand nombre de Pays.

Sachez également que, depuis la dernière élection présidentielle, Nadine et moi-même avons parcouru et traversé un grand nombre de Pays et de Contrées ; bien entendu, parmi ces rencontres politico-économiques et stratégiques, nous avons eu des échanges très riches et constructifs qui permettraient d'asseoir une nouvelle stratégie de développements et de partenariats pour notre Congo. Notre Pays, la République du Congo, Démocratique et Chrétienne est un Territoire convoité par un certain nombre de pays industrialisés qui, après des études socio-économiques importantes, prévoient au mieux des partenariats en imposant des conditions unilatérales telles que l'acquisition de terrains pour construire des logements, des bâtiments d'exploitation, ..., la majeure partie avec une main d’œuvre disponible sur leurs pays et transférée sur notre Région, ce qui ne représenterait que peu de gains pour les Citoyen(ne)s Congolais(e). Leurs études concernant notre Territoire ont mis en exergue : 1/ notre patrimoine forestier est la deuxième plus grande forêt du Monde 2/ un réseau fluvial important 3/ un grand potentiel hydroélectrique 4/ des gisements de minerais considérables (cobalt, cuivre, ..., = matières premières nécessaires à la production des batteries des véhicules électriques 5/ une biodiversité exceptionnelle 6/ de très vastes terres arables 7/ un état des routes déplorables pénalisant les déplacements, les échanges et les circulations pénalisant fortement la libre circulation des matières, des biens et des denrées, …, Toutes ces richesses, je veux que vous en soyez les bénéficiaires, je veux que nos Enfants puissent aller à l'école et faire des études afin d'obtenir des diplômes, je veux créer des emplois dont vous avez tellement besoin pour vivre rationnellement en tant que bon(ne) Citoyen(ne), je veux développer un réseau de santé afin que les soins soient à proximité, je veux aménager les routes pour assurer les communications essentielles, je veux que notre République Démocratique et Chrétienne devienne une Puissance à part entière bénéficiant des écoutes et dialogues avec les pays industrialisés. Et je ne veux plus que ces richesses, mal exploitées, bénéficient à quelques individus qui placent de plus leurs capitaux à l'étranger.

En d'autres termes et d'autres mots, je veux normaliser notre Congo afin que Chacun et Chacune puissent bénéficier des richesses produites par leur Travail.

Cependant, cela n'est réalisable et ne peut se formaliser, voire se concrétiser qu'avec votre participation et votre plein accord ; est-il utile de rappeler que notre Congo est observé par les Pays Occidentaux, comme une Région très riche, pleine de ressources mal-exploitées, voire inexploitées, mais dont la majeure partie a été capitalisée aux profits de quelques-uns et absolument pas distribuée pour le bénéfice des Citoyens dont les ressources sont très limitées. Un exemple parmi tant d'autres : l'extraction du cobalt, matière première nécessaire pour les technologies modernes et d'actualité, est effectuée par nos Enfants à "mains nues" pour des rémunérations dérisoires, empêchant nos Enfants, par voie de conséquence, d'aller à l'école ; est-ce bien raisonnable et est-ce ainsi que nous allons pouvoir leur assurer un avenir cohérent à valeur ajoutée qui leur permettrait de suivre des cycles d'études, afin d'acquérir une spécialisation dont nous avons des besoins essentiels fondamentaux et qui bénéficierait à notre Pays.

Enfin, une autre précision que je dois vous communiquer : mon Père, Eugène M'Boukadia, exerçait la profession de propriétaire terrien à Kibossi et ma Mère, Marianne Loutaya, était commerçante au marché Total ; ces informations familiales vous confirment que je suis bien un Fils du Pays donc un "Enfant du Congo".

vendredi, mai 16 2014

#Congo#Brazzaville Requête de déclaration de l'Etat du Sud Congo

REQUÊTE DE DÉCLARATION DE L’ÉTAT DU SUD CONGO

ADRESSÉE EN VERTU DU DROIT DES PEUPLES A L’AUTODÉTERMINATION A cliquer sur le lien ci-dessous :

__MONSIEUR LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DES NATIONS UNIES ET AUX ÉTATS PARTENAIRES__ / ACCUSE DE RÉCEPTION
LES AUTORITÉS DE L'ACTUELLE RÉPUBLIQUE DU CONGO ONT ÉTÉ DÛMENT INFORMÉES (Cf. ampliation).

REQUÊTE

LE PEUPLE SOUVERAIN DE LA RÉPUBLIQUE SUD CONGO DÉCLARE, EN VERTU DU DROIT DES PEUPLES A L’AUTODÉTERMINATION SUR LEURS TERRES ANCESTRALES, LEUR SOUVERAINETÉ PERMANENTE SUR LEURS RESSOURCES NATURELLES POUR DÉTERMINER LIBREMENT LEUR STATUT POLITIQUE ET ASSURER LEUR QUALITÉ DE VIE SOUS L’ANGLE DES DROITS HUMAINS, PROCLAME LA CRÉATION DE L’ÉTAT DU SUD CONGO.

LA CRÉATION DE CET ÉTAT PERMET DE METTRE UN TERME AUX CRIMES DE HAINE, AUX CRIMES DE GUERRE, AUX CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ, AU GÉNOCIDE, AUX ARRESTATIONS ARBITRAIRES, AUX PROCÈS EXTRAVAGANTS, AUX CONDAMNATIONS ARBITRAIRES DU FAIT PRINCIER, A L’UTILISATION DES FORCES ARMÉES A DES FINS PERSONNELLES DE L’ÉTAT MBOCHI DE OYO ET A L’ÉPURATION ETHNIQUE DONT ONT ÉTÉ ET SONT VICTIMES LES POPULATIONS DU SUD CONGO.

LE NOUVEL ÉTAT DU SUD CONGO EST L’UNIQUE SOLUTION POUR PRÉVENIR UNE SITUATION PREGÉNOCIDAIRE CAR LA VÉRITÉ DES FAITS EST TÊTUE.

CETTE REQUÊTE EN SOUVERAINETÉ DU PEUPLE DE LA RÉPUBLIQUE DU SUD CONGO EST ADRESSÉE A SON EXCELLENCE MONSIEUR BAN KI-MOON, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DES NATIONS UNIES EN TANT QU’ACTE CONSTITUTIF DE L’ÉTAT DU SUD CONGO POUR LA PRÉSERVATION DE SON PEUPLE EN SE RÉFÉRANT A LA JURISPRUDENCE INTERNATIONALE QUI A CONCERNE ENTRE AUTRES LES ÉTATS : ISRAËL, LA TCHÉQUIE ET LA SLOVAQUIE , LA SLOVÉNIE, LA CROATIE, LA BOSNIE-HERZÉGOVINE, LA MACÉDOINE, L’ALBANIE, LA LETTONIE, LA LITUANIE, L’ESTONIE, LA BIÉLORUSSIE, LE SUD SOUDAN.

LES SIGNATAIRES, ci-dessous soussignés,

DÉCLARENT aux NATION UNIES la création de LA RÉPUBLIQUE ET DE L’ÉTAT DU SUD CONGO en séparation de l’actuelle RÉPUBLIQUE DU CONGO cela conformément au DROIT INALIÉNABLE A L’AUTODÉTERMINATION DU PEUPLE DU SUD DE LA RÉPUBLIQUE DU CONGO, pour les raisons historiques évoquées ci-dessus et pour parer à la disparition programmée, sur les terres du sud de la RÉPUBLIQUE DU CONGO, du PEUPLE KONGO ORIGINEL SUR SES TERRES.

Partout dans tous les Pays déchirés par une guerre civile, les belligérants promettent tous d’organiser des élections démocratiques, après leur victoire militaire. En République du Congo, il s’agit d’une prise de contrôle de la totalité des postes d’administration par le pouvoir PCT (Parti Congolais du Travail) avec 99% du commandement militaire et policier par l’ethnie Mbochi du clan Nguesso de Monsieur SASSOU Denis, en dénégation complète du droit républicain, au détriment de toutes les autres ethnies, et en particulier du Peuple Sud Congo. Il s’agit de fait d’une conquête par le biais d’une guerre menée par le pouvoir Mbochi d’Oyo contre les civils des Pays du Sud Congo où est édifiée sa capitale Brazzaville.

Ce qui, dans les conditions de la République du Congo, revient à une conquête de fait par une ethnie, en l’occurrence l’ethnie Mbochi du Nord Congo sur les autres, pour plus de précision du clan Nguesso de l’ethnie Mbochi. Il ne s’agit pas de factions sociales ou religieuses s’opposant, mais de domination d’individus issus d’un Peuple sur les autres Peuples par leur invasion.

Partout au monde, des factions sociales opposées peuvent déclarer être contraintes à prendre les armes pour protéger et s’assurer une meilleure qualité de vie. Mais en République du Congo, il s’agit pour le clan Nguesso d’Oyo de l’ethnie Mbochi de kidnapper les devises issues de l’exploitation pétrolière du Sud en ayant fait main-basse manu militari sur l’ensemble des 9 régions Nord et Sud Congo.

Souvent, les pays ayant connus ou souffrants de guerre dite civile sont largement endettés parce que les prêts qui leur sont consentis par les institutions internationales ont été captés très souvent par la consommation de certains clans dominants ; tel est le cas du clan Nguesso d’Oyo. Aussi, que le FMI avant d’envisager l’effacement de la dette s’informe de l’utilisation de ses fonds et s’assure qu’il n’y ait pas de détournement de fonds avec abus de biens sociaux ; ce n’est pas le fait de la République du Congo, mais du clan ethnique du coup d’État.

Du 05 juin au 15 octobre 2002, les milices armées du Général d’Armée SASSOU Denis ont procédé à nombre de nettoyages ethniques au Sud de la République du Congo. En rendant la situation politique incertaine et instable, sans élection démocratique, et amenant Monsieur SASSOU Denis à prendre le pouvoir par les armes (coup d’Etat).

Sans Autorité légale, n’agissant que par la contrainte pour maintenir un semblant d’ordre propice aux investisseurs sans tenir compte de la qualité de vie des Citoyens, le pays s’est enfoncé dans l’impunité, la mauvaise gouvernance et les crimes contre l’Humanité pour contraindre toutes les populations du Sud du Congo avec l’aide des mercenaires qui emploient la terreur en violation flagrante de la Charte des Nations-Unies (Cf. tous les articles entre autres : 1-1, 1-2, 1-3, 1-4 ; 2-1, 2-2, 2-3, 2-4 ; 6.).

Pour sa gouvernance, Monsieur SASSOU Denis mit en place un gouvernement dont la seule base de son pouvoir repose sur les forces militaires et paramilitaires de ses milices de son clan d’Oyo tout en créant une situation classique de Terrorisme d’Etat.

Etant donné que le chef des milices privée, à savoir SASSOU Denis lui-même, n’avait aucune autorité ni aucun mandat légitime à prendre pour le compte de la République du Congo toutes sortes de décisions l’engageant au plus haut niveau, cette action armée constituait une invasion du Congo Brazzaville par un gouvernement non élu.

Les troupes armées étrangères ainsi que les mercenaires marocains, tchadiens, hutus et zaïrois (ex-soldats de Mobutu) assistés voire pilotés par les Cobras, les milices de Monsieur SASSOU, sont toujours présentes sur le territoire congolais en particulier dans la zone Sud de la République du Congo et ce malgré la signature de l’accord du « Cessez-le-feu et de Cessation des Hostilités » du 29 décembre 1999. L’article 13 de cet accord stipule, entre autres, l’organisation et la tenue d’un « Dialogue National Sans Exclusive » pour établir une paix durable, un Etat de droit et une vie démocratique au Congo Brazzaville. Jusqu’à ce jour, les dirigeants du pouvoir de facto à Brazzaville ont toujours refusé, d’une manière persistante, d’exécuter les termes de cet article.

Ce jour de l’AN 2014, Monsieur SASSOU Denis continue de recruter les mercenaires Anti-Balaka, milices privées proches de l’ancien président François Bozizé, éléments de déstabilisation de la République Centrafricaine (RCA). Ces supplétifs centrafricains sont, pour certains, stationnés dans le nord de la République du Congo, à la frontière avec la République Centrafricaine et, pour d’autres, positionnés à Brazzaville dans la perspective d’une guerre contre les civils des régions du Sud de la République du Congo et continuer le génocide et l’épuration ethnique des populations du Sud de la République du Congo. Du 18 décembre 1998 au 29 décembre 1999, les populations du Sud Congo ont été victimes d’exécutions sommaires, de viols, de ratissages, de pillages et de destruction des biens meubles et immeubles de la part d’un ensemble d’armées étrangères, de mercenaires et des milices Cobras, toutes sous l’autorité de Monsieur SASSOU Denis.

Ces actes criminels, se perpétuant en violation flagrante de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, adoptée par l´Assemblée générale des Nations-Unies dans sa Résolution 217 A (III) du 10 décembre 1948 et du Droit International Humanitaire, ont fortement traumatisé le tissu social congolais du Sud de la République du Congo tout en bafouant la dignité et les droits élémentaires des populations du Sud Congo.

1. Face à ces conditions dégradantes menaçant l’existence même de la population du Sud de la République actuelle du Congo et l’empêchant à s’engager dans le processus de reconstruction dans un cadre démocratique librement consenti pour bâtir son avenir dans la paix ;

2. Face au projet de modification ou de changement de la Constitution du 20 Janvier 2002 que Monsieur SASSOU Denis veut imposer au Peuple pour une 3ème législature ;

3. Face à l’intransigeance dictatoriale de Monsieur SASSOU Denis qui refuse toute négociation pour la mise en place d’un Gouvernement d’Union Nationale en violant les Accords de « Cessez-le-feu et de Cessation des Hostilités » signés entre les parties en belligérance le 6 novembre 1999 et le 29 décembre 1999 qui recommandent avec force, en leur article 13, l’organisation scrupuleuse d’un vrai « Dialogue National Sans Exclusive » sous l’égide des Nations Unies, lesquelles, pour gagner du temps, avait organisé en lieu et place dudit dialogue la « Convention pour la Paix et la reconstruction du Congo » ;

4. Face à l’effondrement généralisé des structures institutionnelles, économiques et socioculturelles qui s’oppose à l’atteinte des objectifs de Paix durable, de démocratie et d’État de droit en restant sous la seule responsabilité de Monsieur SASSOU Denis ;

5. Face à la diminution programmée de la population des régions du Sud de la République du Congo, à savoir : le Pool, la Lékoumou, la Bouenza, le Niari et le Kouilou comme le confirme les résultats officiels du dernier recensement 2013 publiés par le Ministère de l’Intérieur du gouvernement de Monsieur SASSOU Denis, le 6 mars 2014 (tableau ci-après). Ladite diminution qui ne peut s’interpréter que comme le résultat de la mise en œuvre d’une volonté réfléchie de liquidation par des crimes de guerre et du génocide dont ont été et sont toujours victimes les populations du Sud Congo ;

6. Face aux projections de l’ONU établies pour une population de la République du Congo estimée à 3,2 millions d’habitants lors du recensement de 1992 et du projet de programme Post-conflit de développement économique et social du Congo 2000-2002 publié en novembre 1999 initié par le gouvernement de la République du Congo avec le concours de l’Union Congolaise de Banques pour une population de 2.827000 habitants montrant une large baisse du nombre d’habitants contraire aux prévisions, s’interprétant comme un 2ème moyen de conforter et évaluer l’impact des crimes de guerre et du génocide dont ont été et sont toujours victimes le Peuple du Sud Congo :   Recensement 2013 publié le 6 mars 2014 par le Ministère de l’Intérieur du Congo :

Régions : Nombre d’habitants (recensement 2007) Nombre d’habitants (recensement 2014)
Kouilou : 45 977 30 217
Niari : 115 635 96 231
Pool : 118 297 92 824
Lékoumou : NC NC
Bouenza : 154 536 112 894
Likouala : 77 057 121 881
Cuvette : 78 022 121 213
Cuvette-Ouest : 36 499 44 412
Sangha : 42 869 60 622
Plateaux : 87 295 116 913
Pointe-Noire : NC NC
Brazzaville : NC NC

7. Face à la baisse démographique de plus de 25% dans le Sud Congo et à la hausse de plus de 40 % dans le Nord Congo contre toutes attentes, l’on doit rester dubitatif. En première approximation, en prenant une population autochtone de l’ordre de 3 millions avec environ moitié en classes de moins de 20 ans, l’on a en moyenne des classes à 1,5/20=0,075 million ; supposant en première approche la même moyenne pour les classes de plus de 20 ans d’âge, l’on en déduit que les classes de plus de 20 ans sont au nombre de 20 (puisque l’on a aussi 1,5/0,075=20) ; d’où 40 classes d’âge dont 20 de moins 20 ans et 20 de plus de 20 ans, ce qui fait une espérance de vie en République du Congo de 40 ans. Ce sont des chiffres publiés par les Nations Unies lesquelles n’ont aucun intérêt à publier des nombres statistiques avéraient falsifiés ;

8. Face à une telle natalité moyenne impliquée, qui tient compte de la mortalité parmi ces jeunes classes qui semble trop forte, en comparaison, 3 millions de Congolais par rapport à 66 millions de Français implique le rapport 22 alors que le rapport des taux de natalité en considérant environ 0,85 million en France par classe d’âge implique un rapport de 0,85/0,075 = environ 11, en arrondissant à l’entier inférieur, soit deux fois moins que le rapport approximatif des populations globales, lequel suppose que l’on devrait s’attendre à trouver en République du Congo le double de population, soit non loin de six millions sur la base d’une natalité actuelle 75 mille par classe ; la différence ne s’explique que par l’importance des crimes et du génocide faits au Sud ;

9. Face à un autre raisonnement partant des chiffres des Nations Unies, à savoir que la moitié de la population a moins de 20 ans et 68% (soit environ les deux tiers) est âgé de moins de 40 ans : s’il y a deux tiers de moins de 40 ans, c’est qu’il y en a un tiers de plus de 40 ans, donc 1 million de plus de 40 ans ; avec 1,5 million de moins de 20 ans, il reste donc à partir d’une population globale d’environ 3 millions un solde effondré à 3-1,5-1 = 0,5 million pour les 20 classes intermédiaires des 20-40 ans qui avaient de 3 à 23 ans voilà 17 ans en 1997 au temps de la guerre du général SASSOU Denis ;

10. Face au fait que dans une société normale, sans mortalité exceptionnelle de classe d’âge particulière (ici les 20-40 ans), le nombre d’anciens ne saurait être supérieur à celui des 20-40 ans que si la durée de vie moyenne au-delà de 40 ans équivaut à deux fois le nombre des classes d’âge 20-40, soit une espérance de vie de 40+2 x 20=80 ans ; ce qui est notoirement impossible pour la République du Congo et pointe un drame ;

11. Face à la mise en évidence qu’il y a eu indubitablement une mortalité récente exceptionnelle chez les 20-40 ans telle qu’il ressort des chiffres des Nations Unies de 1998, cela pointe une mortalité tout à fait extraordinaire des enfants-soldats enrôlés par les milices depuis 1992 voilà 22 ans, ceux-ci appartenant aux 20-40 ans actuels, mais aussi parmi les jeunes femmes en mettant en évidence une volonté de génocide ;

12. Face au fait que sur la base d’environ 3 millions de personnes au total, on devrait en avoir environ 1,25 million pour les 20 classes d’âge de 20-40 ans, en tenant compte de la mortalité pour être homogène par rapport à 1,5 million de Jeunes des 20 classes d’âge de moins de 20 ans et par rapport au 1 million d’Anciens de plus de 40 ans, l’inégalité décroissante 1,5>1,25>1 étant parfaitement plausible et acceptable, où que l’on se tourne, il manque 1,25 - 0,5 = 0,75 million pour les 20 classes d’âge 20-40 ans, soit en première approche, une extermination massive équivalant à 10 classes d’âge sur la base d’une natalité moyenne de 75 mille par classe avec le ratio 0,75/0,075 = 10, mettant en évidence l’extermination massive des Jeunes, ce qu’on nomme génocide ;

13. Face aux chiffres communiqués par les Nations Unies, la question se posant, après cette analyse, est : où sont donc passés ces ressortissants manquant au Sud Congo ;

14. Face à ces questions angoissantes à approfondir, nonobstant la question que cette mortalité exceptionnelle a pu se compenser à partir de voisins comptabilisés comme Congolais, cette compensation, s’il y a eu, ayant augmenté d’autant l’absence réelle de 0,75 million (750.000) de Congolais sans tenir compte des 69 907 réfugiés congolais exilés recensés par l'agence du HCR que l’on trouve sur le site www.ninemillion.org ;

15. Face aux points mentionnés ci-dessus, et contrairement à ceux qui pensent que le résultat du dernier recensement administratif 2013 publié le 06 mars 2014 constitue une preuve de manipulation du futur scrutin présidentiel de 2016, en réalité, elle est la preuve irréfragable des opérations de crimes de guerre, crimes contre l’Humanité, génocide et épuration ethnique du fait de Monsieur SASSOU Denis lors de son coup d’État de 1997 et les massacres de masse qui s’en ont suivi et de sa volonté d’exterminer les civils du Pool, de la Lékoumou, de la Bouenza, du Niari et du Kouilou avec la destruction programmée de la population du Sud de la République du Congo jusqu’à son extinction qu’Il s’est fixée pour but.

DÉCLARATION D’INDÉPENDANCE DE L'ÉTAT DU SUD CONGO

DE TOUT CE QUI PRÉCÈDE ET, CONFORMÉMENT AU PRÉAMBULE ET AUX ARTICLES DE LA CHARTE DES NATIONS UNIES :

L’aire géographique, qui recouvre indubitablement le terme générique de « Terres Ancestrales des Peuples Sud Congo » sans contestation, reprend dans leur intégralité les Cinq Pays ancestraux du Sud, dénommés : Pool, Lékoumou, Bouenza, Niari, Kouilou, tous ayant la caractéristique ethnique commune Bantou Kongo sans partage aucun, et rattachés à une entité plus générale dénommée « République du Congo » formée depuis 1958 par la juxtaposition des Cinq Pays du Sud aux Quatre Pays du Nord nommés : Plateaux, Cuvette, Sangha et Likouala qui jouxtent le Centre-Afrique. Le terme générique de Peuple Sud Congo recouvre les Cinq Pays d’ethnies Bantou de l’aire géographique définie par l’entité Terres Sud Congo, du Pool à l’Océan, réunis en une seule entité dite République du Sud Congo, parlant et agissant d’une seule voix, et à l’exclusion de nos frères d’ethnies Bantou de tous les Pays frontaliers souverains. En l'absence de Constitution, ou de Traités intégrant ou fédérant les Cinq Pays de la République Sud Congo ainsi réunis entre eux, cette DÉCLARATION est actuellement le sommet de la hiérarchie de normes internes régissant les Pays du Peuple Sud Congo.

En voici l’expression :

"LA TERRE DU SUD CONGO" est le lieu ancestral où naquit le Peuple Sud Congo. C'est là que se forma son caractère spirituel, religieux et national. C'est là qu'il réalisa son indépendance en créant sa culture d'une portée à la fois nationale et identitaire. Le Peuple du Sud du Congo, ainsi constitué en une seule entité souveraine, demeure fidèle aux traditions et coutumes des Pays du Sud du Congo, quelles que soient les diasporas contraintes ou non à l’exil, luttant sans cesse pour y revenir avec l'espoir d'y restaurer sa liberté nationale et d’instaurer une qualité de vie décente pour Tous, l’identité géographique ainsi définie conservant les frontières souveraines existantes résultant du Traité de Berlin et contraignant nombre de Peuples à des cohabitations. Au tournant des Indépendances en 1960, après la disparition de l’Afrique Équatoriale Française, s’est constituée la République du Congo sous l’impulsion du Président Fulbert Youlou, avec l’esprit républicain des valeurs universelles de la France et de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, faisant abstraction de toutes ethnies, ce dont le Peuple Sud Congo déclare solennellement reconnaître dans la réciprocité.

Depuis la fondation de la République du Congo, la République de toutes les Ethnies confondues, issues de nos Ancêtres à Tous, s’est vue transformer par la force en une République Populaire du Congo manipulée par des clans ethniques, trahissant l’âme, les valeurs démocratiques et humanistes du Pays de nos Ancêtres, en faisant croire à l’œuvre d’un monde meilleur avec l’assentiment de l’Ancienne Puissance qui, sans être dupe, laissait faire du moment que ses intérêts fussent conservés, l’intendance n’étant plus que de la responsabilité des intendants autochtones clanifiant le pouvoir, la responsabilité du collapsus social n’étant pas du fait de l’Ancienne Puissance, mais bien de l’utilisation des fonds rétrocédés en devises au pouvoir clanique autochtone.

Tout au long des dernières décennies, le Peuple du Sud Congo s’efforça, au cours des années, de vivre en harmonie au sein de la République Populaire du Congo rétablie en République du Congo souhaitant vivre librement et pleinement la vie économique et culturelle, en aspirant à la paix, cela par un attachement historique et républicain. Aujourd’hui encore, Il est toujours prêt à apporter les bienfaits du progrès à Tous et nourrit toujours l'espoir de réaliser la vraie libération dans l’indépendance nationale.

Après la confiscation du pouvoir par le général d’Armée SASSOU Denis en 1997 par la guerre qu’il menât particulièrement contre les civils du Pool et des Pays du Sud, le Parti Congolais du Travail sous l’impulsion du général SASSOU Denis commença l’épuration ethnique des populations du Sud de la République Populaire du Congo. Malgré les efforts consentis par le Peuple du Sud de la République du Congo, celui-ci est toujours l’objet de discrimination ethnique, d’atteinte aux droits de l’Homme par des actes de crimes de guerre, de crimes contre l’Humanité, de génocide, d’épuration ethnique de la part des « cohabitant externes » imposés de force par le Pouvoir PCT.

PARMI LES FAITS RECONNUS, DEUX PARTICULIÈREMENT IGNOBLES EN TÉMOIGNENT :

- La diminution programmée et planifiée des Populations Sud Congo, comme le montre le recensement de 2013 et publié le 6 Mars 2014 par le Ministre de l’Intérieur de la République du Congo déjà démontrée dans les projections des Nations Unies de 1998 fondées sur le recensement de 1992, et le programme post-conflit de novembre 1999 du gouvernement de la République du Congo.

- « L’Affaire des Disparus du Beach » où furent anéantis des centaines d’enfants du Sud de la République du Congo enfermés vivants dans des conteneurs, noyés dans le fleuve sur l’ordre du pouvoir PCT de Monsieur SASSOU Denis, ce qui démontre la légitimité de remédier à l'absence d'une Patrie du Sud du Congo par la reconnaissance de la République du Sud Congo, conférant au Peuple du Sud Congo la jouissance de ses droits au sein de la famille des Nations Unies, façon de reconnaître le martyr vécus des survivants « du Beach » et de rendre hommage aux « Disparus » en condamnant les atrocité commises par le PCT, et pour permettre aux exilés Congolais du Sud de rentrer chez eux sans crainte afin d’exercer leur droit à une vie de dignité, de liberté et de travail dans la patrie de leurs ancêtres, sans se laisser effrayer par les obstacles que cherche sans relâche le PCT à leur imposer en s’opposant à constituer leur État du Sud. Le sacrifice des enfants des Peuples du Sud Congo ne peut laisser les Nations Unies indifférentes, le tribut payé en vie par la République du Sud Congo, lors des différentes guerres ethniques, étant très élevé par sa contribution active à la lutte contre le fléau des coups d’État PCT et sa lutte pour sa propre liberté. La reconnaissance par les Nations Unies du droit du Peuple du Sud du Congo à établir son État indépendant ne saurait se révoquer en tenant compte et en vertu de la jurisprudence internationale concernant entre autres : ISRAËL, LA TCHÉQUIE, LA SLOVAQUIE ET LA SLOVÉNIE, LA CROATIE, LA BOSNIE-HERZÉGOVINE, LA MACÉDOINE, L’ALBANIE, LA LETTONIE, LA LITUANIE, L’ESTONIE, LA BIÉLORUSSIE, LE SUD SOUDAN comme l’ont déclarés tous ces Pays. C'est le droit naturel du Peuple du Sud Congo de révoquer le pouvoir Mbochi du PCT par sécession et d'être une Nation parmi les Autres en étant souverain de son destin dans son propre Pays.

EN CONSÉQUENCE, NOUS, MEMBRES DU CONSEIL NATIONAL REPRÉSENTANT LE PEUPLE DU SUD CONGO, RÉUNIS AUJOURD'HUI, JOUR DE NOTRE PRISE DE RESPONSABILITÉ, EN ASSEMBLÉE SOLENNELLE, ET EN VERTU DES DROITS NATURELS ET HISTORIQUES DU PEUPLE DU SUD CONGO, PROCLAMONS LA FONDATION DE LA RÉPUBLIQUE DE L’ÉTAT DU SUD CONGO SUR LES TERRES DU SUD CONGO, ENTITÉ QUI PORTERA LE NOM DE RÉPUBLIQUE SUD CONGO,

Nous déclarons qu'à compter de ce jour, à minuit, dans la nuit du 14 au 15 Juin 2014, jusqu'à ce que des organismes constitutionnels régulièrement élus soient en fonction, conformément à une Constitution à adopter en Assemblée Constituante d'ici au 1er octobre 2014, le Présent Conseil agira en tant qu'Assemblée Provisoire de l’État du SUD CONGO et que son Organe Exécutif assumera la Gouvernance Provisoire de l’État du Sud Congo jusqu’aux élections, tout en exerçant l’Administration Nationale.

L’ÉTAT SUD CONGO sera ouvert à l'immigration des Kongo de tous les pays où ils sont dispersés. Il développera le pays au bénéfice de tous ses habitants. Il sera fondé sur les principes de liberté, de justice et de paix enseignés par nos Ancêtres et selon les principes admis par les organisations internationales. Il assurera une complète égalité de droits sociaux et politiques à tous ses citoyens, sans distinction de croyance ou de sexe. Il garantira la pleine liberté de conscience, de culte, d'éducation et de culture. Il assurera la sauvegarde et l'inviolabilité des Lieux sacrés et des sanctuaires de toutes les religions et respectera tous les principes de la Charte des Nations Unies.

L’ÉTAT SUD CONGO coopérera avec les organismes et représentants des Nations Unies et prendra les mesures pour réaliser l'union économique sur toute son étendue.

NOTRE APPEL aux NATIONS UNIES est notre dernier recours pour que le Peuple souverain du Sud Congo édifie son État, en admettant notre Pays parmi les Nations. C’est le droit le plus élémentaire de notre Peuple Sud Congo à l’autodétermination, avec Nos garanties solennelles du respect des étrangers à séjourner dans notre Pays.

NOUS INVITONS avec sincérité les PEUPLES TEKE et NGALA du Pays, aux prises eux aussi avec une brutale agression de la part du pouvoir communiste du PCT, à préserver les voies de la paix et à jouer leur rôle dans le développement de l’État sur la base d'une citoyenneté égale et complète et d'une juste représentation dans tous les organismes et les institutions de l’État, quels qu'ils soient, provisoires ou permanents.

NOUS TENDONS la main de l'amitié, de la paix et du bon voisinage à tous les États Souverains nous entourant et à leurs Peuples, quels qu’ils soient. Nous les invitons à coopérer avec la Nation du Sud Congo indépendante pour le bien commun de Tous. L’État du Sud Congo est prêt, et contribuera au progrès de l'ensemble de l’Afrique.

NOUS LANÇONS UN APPEL au Peuple du Sud Congo dispersé dans le Monde à se rallier au Gouvernement Provisoire dans sa tâche de reconstruction avec remise en valeur en contribuant au combat exaltant que nous allons livrer pour réaliser le rêve poursuivi de génération en génération : enfin la rédemption de l’État du Sud Congo.

CONFIANTS EN L'AVENIR DE NOTRE NATION DU SUD CONGO, NOUS, LES SOUSSIGNÉS RÉUNIS EN SÉANCE HISTORIQUE SUR LE SOL DE LA PATRIE EN ASSEMBLÉE CONSTITUANTE, SIGNONS CETTE DÉCLARATION SOLENNELLE.

Fait et Scellé à PARIS, Terre de la Patrie des Droits de l’Homme, LE 14 AVRIL 2014 EN CINQ (5) EXEMPLAIRES ORIGINAUX DE HUIT (8) PAGES DÛMENT PARAPHES.

Par MANDAT DU PEUPLE SOUVERAIN DU SUD CONGO

ONT SIGNE EN LEUR ÂME ET CONSCIENCE ET EN TOUTE LIBERTÉ, POUR LA PROTECTION DU GÉNOME KONGO DU SUD CONGO.

- BOUKADIA, Modeste
- MAYIMA, Jean-Claude
- BAKALA, Joachim
- BABELA YENGO NKOUKA, Cédric
- DADA, Kodem Édouard
- MAKOSSO, Alfred
- BIDEKELE KITOMBO
- MABIALA MAYINGUIDI
- POATY PANGOU, Robert

TOUS LES SIGNATAIRES SONT CO-AUTEURS DE L'ACTE FONDATEUR.

AMPLIATION AU CONGO :

- Monsieur Denis SASSOU NGUESSO, président de l'actuelle République du Congo / Accusé de réception

- Monsieur André OBAMI ITOU, président du Sénat / Accusé de réception

- Monsieur Justin KOUMBA, président de l'Assemblée Nationale / Accusé de réception

- Monsieur Auguste ILOKI, président de la Cour Constitutionnelle / Accusé de réception

- Monsieur Jean-Marie TASSOUA, président du Conseil Économique et Social / Accusé de réception

- Monsieur Henri LOPES, ambassadeur du Congo près la République Française / Accusé de réception

mardi, décembre 31 2013

#Congo #Brazzaville Centrafrique, Soudan du Sud, RDC et Congo Brazzaville : pays sous THT !

Centrafrique, Soudan du Sud, RDC et Congo Brazzaville :
pays sous Très Haute Tension !

 





CENTRAFRIQUE

L’atermoiement des hommes politiques a fait place à “l’horreur du charnier”. Ce “n’est peut-être que la première d’une longue série” (Libération). Cela rappelle les charniers de Mbanza-Ndounga qui sont l’arbre qui cache la forêt au Congo Brazzaville.
Le Ministre français des Affaires Étrangères, Laurent Fabius avait prévenu qu’il risque d’y avoir un génocide… mais personne ne lui donnait raison. Pourtant, les signes avant-coureurs étaient là bien présents comme ils le sont actuellement au Congo Brazzaville...

SOUDAN DU SUD
Offensive contre les rebelles, des charniers découverts. A défaut de trouver une issue politique, l’ONU va envoyer 6000 casques-bleus supplémentaires… Pour quelle solution ?

RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
- 5 décembre : Joseph Mukungubila Mutombo, dans une lettre ouverte fait part de son “amertume quant à la gestion du pays”.
- 30/12/2013, des jeunes se réclamant de lui, armés de “machettes et d’armes” prennent en otage des journalistes de la RTNC, la télévision d’Etat ainsi que l’aéroport international Ndjili.
Bilan officiel. Attaque à Kinshasa : 30 assaillants à la RTNC, 7 tués et 20 assaillants à l’aéroport : 10 tués. La population ne comprend pas.

CONGO BRAZZAVILLE
- Le PCT devient un parti preneur d’otages (27 personnes membres du CDRC arrêtées arbitrairement chez eux) en mettant en scène une vraie-fausse évasion de prisonniers le 30/12/ pour impliquer le président du CDRC de détention d’armes de guerre pour l’envoyer en cour criminelle et emploie des méthodes dignes d’Al Capone (arrestation du colonel Marcel TSOUROU) pour SEUL BUT : installer la peur dans tout le pays pour entretenir le traumatisme et la psychose dans la population.
- Mis sous pression à Paris dans les dossiers “Biens Mal Acquis” (La Une et 4 pleines pages de Libération N°10137 du 16 décembre 2013) et des 353 jeunes disparus du Beach” (interpellation de Pierre OBA, Norbert DABIRA, Justin LEKOUNDZOU, etc.), Monsieur Denis Sassou Nguesso reproche à la France d’installer des “présidents au Centrafrique” en s’exonérant au passage que lui-même avait été mis en place par la France lors du coup d’Etat du 5 juin 1997 qui ébranle aujourd’hui toute l’Afrique Centrale en implorant le droit d’ingérence auprès du Président Français d’alors, Jacques Chirac ; droit d’ingérence qu’il ose dénier aujourd’hui à la même France. A croire que, quand c’est pour lui, c’est tout bon et c’est normal, mais quand il s’agit des autres, la France devient, aux yeux de Sassou Nguesso, néocoloniale qui fait semblant de s’interroger “Pourquoi ne s’en prend-on qu’à des Africains, alors que Russes et Pays du Golfe rachètent tout Paris ?” (Paris Match, n° 3370 du 19 au 25 décembre 2013). Il botte en touche parce que là n’est pas la question.
- Opération SANGARIS. “Inquiété” (Paris Match), le président Sassou Nguesso utilise une vieille méthode très éprouvée : mise à disposition de 500 militaires congolais pour la Misca. En d’autres termes : pour que la France lui soit redevable.

CONSTAT

. Le point commun à tous les pays suscités est le manque de VRAI DIALOGUE entre Pouvoir et Opposition toutes tendances confondues. Comme cela se fait dans tout pays où le consensus est la règle pour sauvegarder la stabilité. 

. La propagation du conflit de Centrafrique dans toute la zone de l’Afrique Centrale montre la limite de la Conférence de Berlin de 1885 qui a tracé au cordeau les frontières de ces pays. Ce qui revient à dire que le sacro-saint principe de l’intangibilité des frontières si chère à l’UA saute en éclat comme ce fut le cas de la Yougoslavie.

Cas particulier du Congo Brazzaville. L’obsession de la modification/changement de la Constitution du 20 Janvier 2002 de manière unilatérale pour garantir le maintien au pouvoir de Monsieur Denis Sassou Nguesso et son clan est le RISQUE MAJEUR de l’explosion de ce pays dont tous les ingrédients sont en place.
La communauté internationale doit acter sur ce RISQUE MAJEUR qui aboutira in fine à la partition du Congo Brazzaville en deux Etats, celui du Nord-Congo qui pourra se rattacher au Sud soit du Centrafrique, soit à celui du Cameroun et celui du Sud-Congo ayant des affinités avec l’Angola.

En cette veille de l’année 2014, le président Sassou Nguesso devrait laisser, aux archives de 2013, les vêtements de chef de parti pour se parer d’habits neufs de Président de la République, chef de l’Etat au service de tous les habitants afin que survive :

« Le Congo qui devait rester une République Une et Indivisible, et de mettre en place un Gouvernement d’Union Nationale, seul capable d’apaiser le Pays, d’une durée limitée avec pour mission essentielle d’assurer les affaires courantes et de procéder au Recensement Général en vue d’organiser des élections transparentes qui rendront le Congo crédible. »

BONNE ANNEE 2014 !

Modeste BOUKADIA
Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo

Paris le 31 décembre 2013

samedi, janvier 5 2013

Si les ressources m’étaient comptées… (*)

Monsieur le Président du CDRC,

Je suis tombée fortuitement sur une contribution à propos de la campagne de mobilisation de fonds en faveur des enfants avec malformations initiée par M. Firmin Ayessa, le ministre d’État, directeur de cabinet du chef de l’État congolais.

A la lecture, je fais ma BA pour aider ce bon serviteur de la République à trouver les fonds dont il a besoin pour cette œuvre caritative.

Pourriez-vous la publier sur vos blogs ? Par avance, je vous en remercie.

Très cordialement,

Pauline Michèle Lého-Ouamba

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Si les ressources m’étaient comptées… (*)

M. le ministre d’État, en votre qualité de Directeur de cabinet de Mr Sassou Nguesso, le CDRC tient à vous assurer que, Nous, le peuple Congolais, sommes toujours généreux tant en idées qu’en patrimoine et ressources - contrairement à votre clan - !

Aussi il nous est gré en ce début d’année, de vous apporter tout conseil et solutions en retour de ceux que vous nous avez si longuement prodigués et appliqués. Comme vous, nous souhaitons le meilleur pour notre Pays, le Congo.

En réponse à votre appel à la générosité, pour la campagne de mobilisation de fonds en faveur des enfants atteints de malformations – dont si je ne m’abuse les besoins s’élèvent à 75 millions FCFA – je ne saurais que trop vous encourager à faire l’aumône auprès de Mr Denis Christel Sassou Nguesso. Si tel que l’affirme l’enquête parue dans Charlie Hebdo n° 1071 (du 26 décembre 2012), ce dernier a bien contracté 3 contrats d’assurance-vie pour ses 3 enfants respectivement âgés de 8, 6 et 4 ans, dont le montant total s’élève à 695 millions FCFA, il est fort à parier que les malheureux 11% de cette somme destinée à soigner 50 enfants atteints de malformation n’amputeraient pas dangereusement le capital de ces 3 magnifiques enfants destinés à un bel et grand avenir.

Mais notre contribution à votre lourde tâche, ne s’arrête pas là. Nous nous sommes réjouis d’apprendre en cette fin d’année la revalorisation salariale de notre corps de fonctionnaires. Je ne saurais que vous suggérer de faire le petit exercice suivant :

Julienne et son mari Johnson, ont acheté un hôtel particulier de Neuilly d'une valeur de 5,57 milliards FCFA – toujours d’après le même article. Un fonctionnaire Congolais touchera au minimum 90 000 FCFA/mois en 2013 grâce aux bontés de Mr Sassou Nguesso. Combien de fonctionnaires pourraient être payés en 1 année si la valeur de cet hôtel particulier avait été plutôt destinée au paiement de leurs émoluments ?

Je le reconnais, l’exercice donne le vertige. Il représente aujourd’hui 5160 fonctionnaires. Ou si vous préférez, 500 fonctionnaires payés pendant 10 ans.

Est-il bon de rappeler que les sommes des assurances-vie et de l’hôtel particulier à Neuilly proviennent du Trésor Public congolais, quand nous arrivons à peine à honorer les salaires de nos compatriotes ???

Mais heureusement, je ne prends ces cas que pour exemple sans rapporter les valeurs réelles des autres biens du clan tels la société Maritex de Mme Sassou Nguesso aux Seychelles, les 112 comptes de Mr Sassou Nguesso ou ses multiples appartements, villas et hôtels particuliers en France.

Pour reprendre votre citation :

« La solidarité est une des valeurs fondamentales sur laquelle se fonde les relations entre les différentes composantes humaines de notre pays… »

et de finir par les mots de Mr Sassou Nguesso en cette fin 2012 :

« Le Gouvernement, je le réaffirme, continuera d’assumer toutes ses responsabilités, d’honorer tous ses engagements et d’assurer tous ses devoirs. La nation devra demeurer solidaire, généreuse et digne d’estime dans toutes les épreuves, comme elle a su l’être tout au long de l’année qui s’achève ce soir ».

Le CDRC ne saurait que conseiller à votre clan de renforcer l’exemple en toute transparence à moins que cela ne soit encore une autre opération de dissimulation de fonds.

Commencez, M. le ministre et nous vous suivrons !

Pauline Michèle Lého-Ouamba
E-mail : paulmichleho@gmail.com

Le 4 janvier 2013


(*) Article reçu  par mail :

De : Pauline Michèle Lého Ouamba [mailto:paulmichleho@gmail.com]
Envoyé : samedi 5 janvier 2013
À : musitsundi@hotmail.com
Objet : Contribution à publier sur les blogs afférents au CDRC


jeudi, janvier 3 2013

L’Afrique centrale : otage du soutien au coup d’Etat du 5 juin 1997 au Congo par le général d’Armées Denis Sassou Nguesso

Au cours de la conférence de presse (Danger imminent d’embrasement en Afrique Subsaharienne – Conférence de presse du 20/10/1997 à Paris) que j’avais donnée à Paris le 20 octobre 1997, je tirais la sonnette d’alarme que ce coup de force était préjudiciable pour la stabilité de l’Afrique centrale d’où le double titre :

1. Danger imminent d’embrasement de l’Afrique Subsaharienne.

2. Congo-Brazzaville : la bombe à retardement. Comment désamorcer la crise ?

Aujourd’hui notre analyse faite en 1997 est plus que d’actualité avec l’avancée des rebelles de la Séléka en Centrafrique. Les pays qui craignent de connaître de telles rebellions se liguent autour de la FOMAC dont « les effectifs de la Force multinationale d’Afrique centrale (FOMAC) devraient atteindre 760 hommes à la fin de la semaine, selon une source au sein de la FOMAC. Cent-vingt soldats gabonais sont arrivés à Bangui. Un contingent de 120 soldats du Congo-Brazzaville était arrivé lundi et 120 Camerounais sont attendus d’ici la fin de la semaine. Ces troupes fraîches s’ajoutent à 400 soldats tchadiens déjà déployés à Damara, ultime verrou sur la route de Bangui, à 75 km au nord de la capitale, en renfort de l’armée centrafricaine. » (Courrier picard du Mercredi 02 Janvier 2013).

Pour mémoire, les pays constituant la FOMAC sont ceux qui avaient aidés le général d’Armées Denis Sassou Nguesso à commettre son « hold-up sur la démocratie » (Marie-France CROS, La Libre Belgique du 18 juillet 1997).

Il est à noter que l’Angola, le bras armé de la sous-région, est absent de la FOMAC et, pour cause, le Président Dos Santos s’est rendu compte de la manipulation dans ce jeu de dupes. Un jeu qui aura coûté la vie à des centaines de milliers de victimes laissées à l’abandon avec pour conséquence « Vers une explosion d’épidemies » (Marie-France CROS, La Libre Belgique du 23 septembre 1997).

C’est pour cela qu’il est impératif pour l’Afrique de soutenir la politique, de rupture avec la Françafrique et d’y mettre un terme, engagée par le Président François Hollande pour que s’établisse la nouvelle politique française expliquée à l’Assemblée Nationale à Dakar (Sénégal) et devant le Sommet de la Francophonie à Kinshasa (RDC). Nouvelle politique réaffirmée vendredi 30 décembre 2012, lorsque le président Hollande avait souligné que la présence militaire française en Centrafrique n’était pas destinée à « protéger un régime » contre l’avancée de la rébellion, mais les ressortissants et les intérêts français.

Modeste BOUKADIA
Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo

mercredi, janvier 2 2013

L'autre politique : une réponse aux besoins contemporains...

Chers Amis,

Je vous remercie de nous témoigner votre soutien en cliquant sur "j'aime" ou en apportant votre contribution écrite.

Aujourd’hui, il est clair qu’aucun pays ne peut vivre en vase clos. Nous sommes liés parce que nous avons tous besoin les uns des autres. Les investisseurs ont besoin de l’Afrique. De même, l’Afrique a besoin de ces investisseurs. C’est pourquoi la nouvelle génération d’hommes politiques africains doit créer les conditions d’une SYNERGIE entre l’Afrique et les investisseurs.

C’est pourquoi les clics sur "j’aime" de tout un chacun, même, silencieux sont pour nous une aide inestimable qui renforce notre volonté, notre combat, par l’idée que le changement au Congo doit se faire dans le respect des droits de l’Homme et de la liberté de chacun !

Merci à tous.

Modeste BOUKADIA

mardi, janvier 1 2013

Bonne et Heureuse Année 2013 au Peuple du Congo na biso !

Mes Chers Compatriotes,

A tous les habitants et à tous les Enfants du Congo, nous voici en 2013 !

Le Cercle des Démocrates et Républicains du Congo (C.D.R.C.), fidèle à sa tradition depuis 2008, s’adressera au Peuple du Congo lors de la présentation de ses Vœux de 2013 à la presse à Brazzaville.

Chacun de nous a suivi avec attention les Printemps Arabes, avec toutes les conséquences que l’on sait au Yémen, en Tunisie, en Égypte, en Libye, etc.

De même chacun de nous suit attentivement ce qui se passe en Syrie et tout près de nous, en Centrafrique.

La question que nous sommes en droit de nous poser, pour notre Congo, Pays qui nous appartient parce que chacun de nous en a reçu une part d’héritage le 28 Novembre 1958, est quel véritable avenir pour ce Pays ? Faut-il rappeler que par le bon vouloir de M. Sassou Nguesso, il s’est créé un vrai fossé, une rupture entre le passé et le présent ainsi qu’entre le Nord et le Sud du Pays notamment par la nomination de son gouvernement et de son Haut Commandement Militaire dont la quasi-totalité des membres est issue de sa tribu ?

Plus que jamais, chacun de nous doit se ressaisir, chacun de nous doit se hisser bien au-delà de ses intérêts propres pour que nous reconstruisions enfin notre Pays en une République Une et Indivisible. Citoyennes, Citoyens du Congo, Enfants de notre cher Pays, notre avenir est en nous !

L’État de droit, la démocratie, la bonne gouvernance et la justice équitable que nous appelons de nos Vœux n’est pas l’apanage des Européens ou des Occidentaux. Ces traditions séculaires, les Anciens les ont pratiquées depuis la nuit des temps. Il nous faut renouer avec la culture de nos Ancêtres, celle d’une VRAIE CONFÉRENCE NATIONALE sans chasse aux sorcières. La sincérité de la promesse de Denis Sassou Nguesso doit se prouver maintenant par la formation d’un Gouvernement d’Union Nationale, comme énoncé lors de ses vœux au Pays le 31/12/2012. Sans ce Gouvernement d’Union Nationale, son annonce sera encore une vaine promesse pour gagner du temps ! Chacun doit se souvenir que « les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ! » Pour mémoire, nous réaffirmons ici notre volonté comme, nous l’avons déjà annoncé le 24/11/2012 à Pointe-Noire que « le temps des promesses est révolu car le Peuple n’est plus dupe. On lui promet la carotte mais il ne trouve que le bâton ! D’où le fort taux d’abstention et la nomination des députés par décret qui est une violation de la Constitution. » Il est indispensable de reconstruire notre Pays en un État de droit, avec la bonne gouvernance et la justice équitable pour tous. Gage de la non-discrimination des Congolais !

C’est pourquoi, j’appelle toutes les Congolaises, tous les Congolais de l’intérieur comme de l’extérieur de créer une SYNERGIE capable d’impulser l’AFRIQUE DE DEMAIN comme l’avait fait en son temps Gandhi sans effusion de sang et plus proche de nous Mandela. Oui, notre Afrique a besoin d’un élan car notre continent est la SOLUTION à la récession qui ravage toutes les économies du monde. A nous de nous hisser à la hauteur des enjeux de 2025. En effet « L’Afrique - nouvel eldorado des investisseurs : avec une population qui devrait doubler d’ici vingt ans, le milliard de consommateurs africains intéresse le reste du monde » (Le Monde du Dimanche 30-Lundi 31 décembre 2012 -Mardi 1er janvier 2013 N°21134).

Voilà posé le défi que nous avons tous, mes Chers Compatriotes que nous avons à relever car le Congo est bel et bien parmi tant d’autres pays là où l’AFRIQUE DE DEMAIN doit prendre naissance avec cette Nouvelle année.

BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2013 !

VIVE LE CONGO !

VIVE LA RÉPUBLIQUE UNE ET INDIVISIBLE !

Modeste BOUKADIA
Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo

dimanche, décembre 30 2012

Les rebelles de la Séléka aux portes de Bangui !*

Les raisins de la chute du président Bozizé : des chiffres qui parlent d’eux-mêmes !

Le président Bozizé avait été élu avec 600 000 voix représentant 66% des participants, donc 600 000*(100/66) = environ 900 000 participants.

Le défunt ex-président Patassé non élu avec 20% des participants soit 600 000*(20/66) = environ 180 000 voix tout en n’obtenant pas les 5 % du corps électoral.

Cela veut dire qu’au mieux, 5% du corps électoral valent au moins 180 000 voix. En d’autres termes, le corps électoral vaut environ 20 fois plus soit 3 600 000 voix et que le président en exercice - en passe de devenir ex-président avec la coalition Séléka qui presse aux portes de Bangui – avait été élu avec un sixième du corps électoral, soit 16% du corps électoral avec un taux de participation de (900 000)/(3 600 000) = 25%.

Conclusion réaliste sans appel ni jugement de valeur ni parti pris : ce sont bien là des participations vouant à l’échec toute action pérenne tant qu’on n’a pas la confiance majoritaire absolue par rapport aux inscrits, et non par rapport aux participants !

A l’aube de 2013, pouvons-nous faire un rapprochement des faits entre la RCA et le CB ? En effet, au Congo, lors des fausses élections législatives de juillet 2012, la Peuple du Congo a infligé un CARTON ROUGE au président Sassou et son PCT avec un TAUX D’ABSTENTION DE 96% - je vous laisse le soin des calculs ! En réponse à ce camouflet par un taux de participation de 4%, le général d’Armées Denis Sassou Nguesso a nommé par décret son Parlement ramenant ainsi le Congo au monopartisme qui ne dit pas son nom !

En mettant en place son gouvernement et son Haut Commandement Militaire dont les membres sont issus à 98% de sa tribu, Sassou Nguesso viole allègrement le principe inaliénable de la non-discrimination des citoyens qui stipule « Tous les hommes naissent libres et égaux en droit » ; fondement de l’Etat de droit et de la démocratie.

Compte-tenu des dernières heures du régime du général Bozizé, d’une part et, les mêmes causes produisant les mêmes effets, d’autre part, quelle issue pour le régime discriminatoire de Sassou Nguesso et son PCT pour 2013 surtout que la population commence à s’en prendre aux symboles de la République ?

Modeste BOUKADIA

lundi, décembre 24 2012

A propos de la construction de la plus grande mosquée d'Afrique centrale au Congo à Bacongo (quartier sud de Brazzaville)

Jean Pierre Aparicio à Modeste Boukadia (il y a 16 heures)

Décidément Mr le Président Boukadia.
Quelque chose ne tourne pas rond chez le dictateur de votre Pays Mr DSNG. Que lit-on dans la lettre du continent (LC N. 649 du19/12/2012. en page 2, rubrique quot;la case à devinettes) ; Business-Religion au Congo Brazzaville :

Quel Pays du Moyen Orient exige du Président DSNG de construire la plus grande mosquée d'Afrique Centrale, dans le quartier de Bacongo de Brazza, avant de construire un centre d'affaire dans la capitale Congolaise ?

Que veut-il faire de Brazza ce qu'il se passe au Nigeria ou au Nord-Mali en faisant venir des intégristes dans ce quartier dont on sait qu'il est presque à 100% Chrétien ? Il est temps de le faire partir malgré les messages qu'il fait passer à PARIS "QU'IL NE SE REPRÉSENTERA EN 2016" car personne n'est dupe.

Modeste Boukadia à Jean Pierre Aparicio
Bonjour cher Monsieur.
Je vous remercie de m'avoir informé des intentions cachées de M. Sassou Nguesso. Pourtant, il a déjà fait construire la plus grande mosquée du Congo dans un quartier nord de Brazzaville. Aujourd'hui, il lui faut la "plus grande mosquée d'Afrique centrale et en plein cœur de Bacongo" ? Pour rivaliser avec l’Église Saint-Pierre Claver de Bacongo ?
Quant à l'idée qu'il fait passer à Paris "qu'il ne se représentera pas en 2016" ; la question qui se pose est :

QUI CROIT-IL ABUSER ?

L’Europe, la France puisque les Congolais ne veulent plus de lui avec un taux d'abstention de 96% aux fausses élections législatives de juillet 2012 qui a donné un Parlement nommé par décret présidentiel ?

Bonnes Fêtes de Noël et de Nouvel An.

JOYEUX NOËL A TOUS !

A tous les Enfants du Congo, croyants et non croyants, que Noël soit un moment de bonheur et de regroupement familial pour que cette magie, qui illumine chacun de nos cœurs en cette période, nous donne la force de dépasser nos clivages pour qu’ensemble nous construisons un Congo, uni et prospère où nos Enfants pourront enfin rire, s’épanouir et y vivre sans peur.

JOYEUX NOËL A TOUS !

Modeste BOUKADIA

jeudi, décembre 13 2012

Interviews des cadres du C.D.R.C. : du Secrétaire général, Constant Nguenoni, du vice-Président, Sylvain Miakamona et de la Présidente de l'AFNAC, Élisabeth Nkouka Loukoula

Après la conférence de presse du Président du C.D.R.C., les journalistes ont tendu leurs micros au Secrétaire général du C.D.R.C., Constant NGUENONI, au vice-Président, Sylvain MIAKAMONA et à la Présidente de l'AFNAC (Association Femmes Nouvelles pour l'Avenir du Congo), Élisabeth NKOUKA LOUKOULA.

mercredi, décembre 12 2012

Déplacement de Modeste BOUKADIA, président du C.D.R.C., dans le Kouilou du 24 au 29 novembre 2012

Modeste BOUKADIA, président du C.D.R.C., a effectué une visite de travail dans la région fédérale du C.D.R.C. du Kouilou. Il a été accueilli à Pondila (district de Hinda) le 27/11/12 par les délégués des sections du C.D.R.C. des six (6) districts Kakamoueka, Hinda, Mvounti, Tchiamba-Nzassi, Madingou-Kayes et Nzambi constituant le Département du Kouilou.

Le département du Kouilou regorge de forages pétroliers ! Dans leur mot de bienvenue, après avoir déploré que les compagnies pétrolières n’embauchent que les jeunes camerounais qui ont les mêmes diplômes que les enfants autochtones, avoir fait constaté que toutes les rivières sont polluées et que la population n’a plus accès à l’eau potable car les rivières sont polluées et qu’un camion-citerne vient les alimenter une (1) fois par semaine à raison d’un bidon/par famille, la population a exprimé leur soutien total et irréversible au changement. Pour ne pas trahir leur pensée, voici ce qu’ils ont dit :

"Monsieur le Président, ne vous laissez pas distraire, ici dans le Kouilou, vous êtes plus aimé que le Président Sassou. Comme vous partez souvent en France, nous vous faisons confiance pour dire au Président français que nous ici à Pondila où il y a le pétrole, nous voulons que les vrais "Français" reviennent et ils seront toujours les bienvenus comme au temps du Président Fulbert Youlou. Vous ne devez jamais oublier que le Peuple est beaucoup plus nombreux et il vous soutient. Vous nous promettez la création des entreprises, il faut le faire et le Peuple sera toujours avec vous. Mais si jamais, vous nous trahissez, sachez que vous et le Président Sassou, nous vous jetterons tous les deux dans le fleuve Kouilou et il est profond ; cela veut dire que personne ne pourra vous y retirez ! Monsieur le Président, pourquoi la France nous a abandonnés et qui sont ces autres "blancs" qui sont ici ?”

Ndlr : “ces autres "blancs" : entendre les Chinois”

En remerciement à leur accueil plus enthousiaste, le président du C.D.R.C a rassuré la population de sa volonté de conduire le pays au CHANGEMENT en insistant qu’il n’a qu’une seule parole :

"Mais que chacun doit comprendre, que chacun de nous tous sache que le Changement veut dire aussi, le changement de mentalité et d’actions. Si nous voulons que les choses changent dans notre pays, il est indispensable que chacun d’entre nous se respecte d’abord en tenant bien ses engagements sans les trahir. Nous devons aussi respecter les Institutions que nous nous sommes imposées. Vous me dites que nous voulons la « paix », oui, moi aussi je suis pour la paix ; aussi, il nous faut mettre en place des entreprises, des sociétés où nos enfants doivent travailler sinon il n’y aura jamais la paix. C’est pourquoi, quel que soit ce que le Président Sassou a fait, il n’est pas question pour nous de le mettre en prison, il doit garder ses biens ici à Pointe-Noire, au Kouilou ou partout ailleurs dans notre pays pour la tranquillité de tous. Il a occupé des fonctions et peu importe la manière, nous devons le respecter et lui laisser la dignité d’aller et venir où il veut ; d’aller se reposer dans son village pour écrire ses Mémoires où je dois le conduire moi-même car j’avais promis en 2009 d’aller à la pêche avec lui et jouer aussi à la pétanque ! Vous m’avez posé la question « pourquoi la France nous a abandonnés ? » Laissez-moi vous rappeler que la France est notre partenaire comme les autres pays occidentaux. Si vous voulez vraiment que les Français et la France reviennent au Congo, c’est votre choix parce que vous êtes le Peuple et vous être le Souverain Primaire. C’est vous qui décidez ! Alors il faut pour que la France revienne, il faut l'exiger, il faut le demander de manière forte en venant très nombreux aux réunions et aux manifestations du CDRC. Si vous êtes très mobilisés et très nombreux, vous me donnez la légitimité face au Président Sassou. Mais, je ne doute pas que je l’ai déjà, que vous m’avez déjà donné cette légitimité ! Parce que vous êtes là très nombreux et très mobilisés et vous prouvez à la face du monde que vous ne voulez plus de ce Président qui ne s’occupe que de ses « biens » qu’il a acquis au détriment de vous, de ce Président qui pratique la discrimination des Congolais en mettant en place un gouvernement constitué à 98% des gens de sa tribu et d’imposer au pays un Haut Commandement Militaire lui aussi constitué par 98% des généraux et officiers supérieurs de sa tribu. Voilà pourquoi, il est important que nous arrivions au changement dans la paix et la tranquillité. En pratiquant la politique de la discrimination de la population, M. Sassou Nguesso viole le principe de l’égalité des citoyens qui stipule que « tous les hommes naissent libres et égaux en droit ». Cette politique de la discrimination des Congolais risque de nous entraîner vers des dérives difficiles. C’est pourquoi, la solution que je propose est toujours la même, celle de construire le pays ensemble avec tout le monde pour que notre Congo reste uni et indivisible. Je vous assure, là, nous serons plus forts, plus combattifs pour créer des entreprises et de l’Emploi pour l’ensemble des jeunes de notre pays. Le changement que je demande n’est pas un changement ni de chasse aux sorcières ni de destruction mais un changement d’avenir et de construction. Je vous le promets. Je le ferai car je n’ai qu’une parole et quand je promets, je la tiens. Je sais qu’au-delà de vous Peuple du Kouilou venu très nombreux et très mobilisé, c’est l’ensemble du Peuple du Congo qui me demande ce changement. Et je vous assure que c’est comme cela que ça doit se passer. Merci.”

Une séance de questions a prolongé les échanges. Ensuite, une collation a été offerte par le président du C.D.R.C. à tous les participants.

Modeste Boukadia s'exprime sur le crash de l'avion cargo et sur les dissimulations du gouvernement de Sassou et la discrimination des Congolais

Interrogé par des journalistes, lors de la visite des locaux de la radio et télé Forum (TV et radio des droits de l’Homme) le 03 décembre 2012, le président du C.D.R.C., Modeste BOUKADIA s’est longuement interrogé dans l’émission “L'expression directe des Citoyens” sur la politique de mensonge du gouvernement PCT/RMP. En effet, le gouvernement tribal de M. Sassou Nguesso a évoqué ne pas savoir l’origine de cet avion ni connaître la compagnie d’affrètement. Pourtant les débris de l'avion-cargo sont protégés par les FAC dont le Haut Commandement est constitué à 98% des généraux et officiers supérieurs de sa tribu. Pour mémoire, la population a ramassé sur le lieu du sinistre des boîtes de munitions destinées aux FAC. Dans son déni, le pouvoir hégémonique et tribal de M. Sassou Nguesso qui pratique la discrimination des Congolais ne reconnaît que la mort des membres de l'équipage…

L’élément audio ci-après comporte trois (3) parties :

1. Explication de Me Maurice Massengo Tiassé, le directeur général de Forum radio/Télé sur la notion de non-discrimination des citoyens conformément au principe qui stipule que “Tous les hommes naissent libres et égaux en droit” ;

2. Message du Président Sassou Nguesso sur le respect des droits des citoyens ;

3. Expression libre du Président Modeste BOUKADIA quant à la pratique par Monsieur Sassou Nguesso de la discrimination des citoyens du Congo qui se manifeste un gouvernement formé à 98% des membres de sa tribu ; tout comme le Haut Commandement Militaire constitué à 98% par les généraux de sa tribu.

La violation par Monsieur Sassou Nguesso du principe de la non-discrimination qui dit que “tous les hommes naissent libres et égaux en droits” est une raison essentielle de partition du pays en deux républiques, celle de la partie Nord qui a déjà une réalité effective puisque le Président Sassou Nguesso a ramené dans son village d’Oyo la Président de la République où il préside les conseils des Ministres.

Pour éviter la partition du Congo en deux (2) républiques, du Nord Congo et du Sud Congo dont la frontière passerait depuis Gamboma-Ossele-Okoyo, Modeste BOUKADIA estime que la solution se trouve dans la convocation d’une Conférence Nationale d’où sortirait un gouvernement d’union nationale dirigé par un Premier ministre chef de gouvernement. C’est la solution pour conserver l’unité du Congo en une République UNE ET INDIVISIBLE. L’idée des Etats généraux proposée par “son” opposition et acceptée par le PCT n’est qu’une énième escroquerie politique qui ne servira que les intérêts de M. Sassou Nguesso et non celui du Congo, des Congolaises et des Congolais.

Conférence de presse de Modeste BOUKADIA, président du C.D.R.C., lors de sa visite au Kouilou du 24 au 29 novembre 2012

Modeste BOUKADIA s’était livré au jeu de questions avec le journaliste Christian Perrin de la Télé Pour Tous (TPT) pendant l’émission “Invité de la presse” au cours de laquelle le président du C.D.R.C. a condamné de manière ferme la formation du gouvernement et du Haut Commandement Militaire dont les membres sont issus à 98% de la tribu de M. Denis Sassou Nguesso. Il a insisté que :

Cette situation favorise la partition du Congo. Ce faisant, M. Sassou Nguesso applique sa politique de la réconciliation inter-nordiste en transférant la présidence de la République dans son village d’Oyo où il tient les Conseils de ministres. Avec un gouvernement constitué à 98% des membres de sa tribu et un Haut Commandement Militaire taillé sur mesure où 98% des généraux sont aussi issus de l’Alima, M. Denis Sassou a bel et bien mis en place la République du Nord Congo. Il devient la cause et le responsable de la partition du Congo.” a-t-il ajouté.

Toutefois, le Président du C.D.R.C. a appelé le Peuple du Congo qui a rejeté les “fausses élections législatives de juillet 2012” en infligeant un CARTON ROUGE au PCT par une abstention forte et massive de 96% de se mettre en ordre de bataille pour que le Congo reste UN et INDIVISIBLE.

Modeste BOUKADIA a ajouté que :

Le Congo, les Congolaises et les Congolais ne se laisseront pas faire un énième coup d’Etat qu’organise en sourdine le Parlement congolais nommé par décret présidentiel par la modification de la Constitution pour transformer le Congo en une monarchie tribale.”

Cependant, le C.D.R.C. continue d’appeler à la formation d’un Gouvernement d’Union Nationale pour rendre l’Unité et la Réconciliation nationales possibles et éviter ainsi toute tentative d’une confédération du pays.

Le 24 novembre, le président du C.D.R.C. tenait une conférence de presse où il a évoqué les questions nationales, notamment de la libération du colonel Tsourou du fait que son dossier soit vide ; sur le plan international, il a plaidé que la communauté internationale doit aider le président Joseph Kabila Kabange pour éviter la balkanisation de la RDC sinon “ce serait ouvrir la boîte de Pandore parce que si le Nord Kivu tombe, si Goma tombe, ce précédent ferait jurisprudence et il est à craindre que le morcèlement de l’Afrique” a-t-il ajouté. Il a aussi plaidé que l’Afrique doit soutenir les efforts des présidents François Hollande et Barack Obama pour que l’Afrique soit au rendez-vous de 2025.

mercredi, novembre 14 2012

Les Etats généraux au Congo : encore une mascarade !

Cher Monsieur Jean Pierre Aparicio,
Suite à votre contribution faite sur Facebook.apariciojpm le 09/11/2012 09:39, voici le point du C.D.R.C. :

« Je vous remercie de votre attention en m'adressant votre analyse/questionnement qui, très certainement, est fondée ! Ne disposant pas d'éléments, je ne puis vous répondre. Toutefois, laissez-moi vous dire que mon parti, le C.D.R.C., s'engage en politique sur la base de la démocratie, pour le respect des droits de l'homme afin que chaque habitant de notre pays, le Congo (Brazzaville) jouisse pleinement de ses droits politiques et civiques.

Comme vous le savez, le mal qui gangrène l’Afrique en général et mon pays singulièrement est l’acquisition des biens de manière outrancière. La démocratie veut dire un accès sans exclusive au droit politique et civique et une justice équitable pour tous. C’est là que l’Afrique et le Congo (Brazzaville) particulièrement doivent tendre. Sans cela, il est à craindre que nous foncions droit dans le mur qui nous accule et nous contraint à des dérives autoritaires en guise de recours. Quoiqu’il en soit, les opportunités de relance d’une véritable politique qui ouvriraient l’étau, dans lequel le PCT s’est mis lui-même, existent. Ces opportunités sont universelles : respect des droits de l’Homme, bonne gouvernance et justice équitable pour tous. En d’autres termes, la réponse à tout cela est la mise en place d’un Gouvernement d’Union Nationale et non, comme le laisse entrevoir le PCT la convocation des États Généraux.

Permettez-moi de vous rappeler que pour les fausses élections législatives de juillet dernier, élections pour lesquelles le CDRC avait appelé à l’abstention forte et massive, le PCT avait concocté la concertation d’Ewo où il avait invité ses opposants. Nous avons vu ce que cela a donné. Nous avons été les grands gagnants puisque le Peuple du Congo nous avait suivi avec un taux d’abstention record de 96% ce qui a poussé Monsieur Sassou Nguesso a nommé certains députés par décret comme il l’a aussi fait pour le président du Conseil constitutionnel qui a été nommé par le président Sassou Nguesso au lieu d’être élu par ses pairs… C’est dire si le PCT a accepté le principe des Etats Généraux, c’est certainement pour réitérer la même chose qu’à Ewo.

Quoiqu’il en soit, qui dit Etats Généraux dit « couper les têtes ! » Comme pendant la Révolution française. Qui est d’accord parmi ceux qui acceptent ce principe d’Etats Généraux pour que sa « tête soit coupée » pour suivre l’exemple de la Révolution française avec la guillotine. Si le PCT a accepté le principe de ces États Généraux, ce n’est pas pour la mise en place de la démocratie, le respect des droits de l’homme et encore moins pour le bien du peuple mais c’est pour sauver leur confort !

Oui, il nous faut des « Institutions fortes et non des hommes forts en Afrique » pour reprendre les propos du Président Barack Obama pour que l’Afrique trouve sa place qui est lui est due dans le monde. C’est pourquoi, comme à l’accoutumée, le C.D.R.C. décline dès maintenant sa participation à ces Etats Généraux parce que notre politique n’est pas pour « couper les têtes » des congolais. Mais il réitère sa volonté pour une mise en place d’un Gouvernement d’Union Nationale, seule alternative crédible et lisible qui éviterait des nouveaux drames.

Merci à vous. »

Modeste BOUKADIA

Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo
Candidat à la présidence du Congo aux élections 1997 et 2009



Le 09/11/2012 17:51 sur Facebook.com/modeste.boukadia

mercredi, novembre 7 2012

Félicitations au Président Barack OBAMA pour sa réélection

Félicitations au Président Barack OBAMA

Le Cercle des démocrates et républicains du Congo (C.D.R.C.) félicite le Peuple Américain pour l’exemple qu’il montre au monde pour la démocratie en se dépassant. De même, au Nom du C.D.R.C. ma famille politique, de ma famille et en mon Nom personnel, je présente mes très chaleureuses félicitations au Président Barack OBAMA pour sa réélection. Que ces quatre années soient la concrétisation des nouvelles relations entre les États-Unis d’Amérique et l’Afrique engagées lors de son discours de 11 juillet 2009 à Accra (Ghana) :

L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, elle a besoin d’institutions fortes.

Pour que l’Afrique soit le partenaire tant attendu dans le monde.

Fait à Paris, le 07 Novembre 2012

Modeste BOUKADIA

Président du Cercle des Démocrates et Républicains du Congo
Candidat à la présidence du Congo aux élections 1997 et 2009

Félicitations au Président Barack Obama pour sa réélection

mercredi, octobre 31 2012

Condoléances au Peuple Américain

Je tiens à exprimer mes plus sincères condoléances et à m’associer à la profonde tristesse de toutes les familles des victimes du passage de Sandy. Que toutes les familles soient assurées au nom de ma famille politique, le Cercle des démocrates et républicains du Congo (CDRC), de ma famille et en mon nom personnel de notre profonde compassion.

Fait à Paris, le 31 octobre 2012

Modeste BOUKADIA Président du C.D.R.C.

Condoléances Au Peuple Américain

mercredi, octobre 17 2012

Accueil et allocutions des dirigeants du C.D.R.C. du Kouilou et de Pointe-Noire 16 août 2012 lors de la visite du président Modeste Boukadia

Le C.D.R.C. ayant appelé le Peuple du Congo à infliger un CARTON ROUGE au PCT par une abstention forte et massive, les dirigeants du parti ont accueilli le président Modeste Boukadia au Kouilou et à Pointe-Noire le 16 août 2012. Le président du C.D.R.C. a insisté sur la nécessité de garder en attendant le « CARTON ROUGE et le SIFFLET » dans la poche en montrant d'abord le CARTON BLANC.

Pour rappel, le retour au monopartisme voulu par le président Sassou Nguesso et rendu possible par le PCT s’est fait avec l’élection des députés avec un taux de participation de 4% - certains députés ont été directement nommés par M. Denis Sassou Nguesso par décret présidentiel, comme la nomination par décret présidentiel du président du Conseil Constitutionnel alors qu’il devrait être élu par ses pairs !

Le C.D.R.C. continue d’appeler à la formation d’un Gouvernement d’Union Nationale afin de rendre l’Unité Nationale possible et d’éviter toute tentative d’une confédération du pays.

Voyage du président du C.D.R.C., Modeste Boukadia, au Kouilou et Pointe-Noire 16 août 2012

Après le retour au pays natal, Modeste Boukadia, président du C.D.R.C., a effectué un voyage de travail dans les départements du Kouilou et de Pointe-Noire à la suite des fausses élections législatives de juillet 2012. Pour mémoire, le C.D.R.C. est le seul parti à ne pas avoir participé au scrutin pour ne pas cautionner le retour du monopartisme en appelant à l'abstention forte et massive (96% de la population a dit NON) pour infliger un CARTON ROUGE au PCT. De même, il n'avait pas participé à la concertation d'Ewo.

jeudi, août 2 2012

La Grande Affaire du Mistigri !

La Grande Affaire du Mistigri : enfin, de sources officielles (DRG et DRM) surgit ce que l’on savait depuis fort longtemps, le fameux taux de participation au premier tour des élections législatives du 15 juillet dernier qui va ridiculiser notre classe politique tout à la conservation de ses intérêts momentanés, sans bien percevoir l’avenir, à savoir une abstention de 94%.

On comprend le Pouvoir ; pas de quoi fanfaronner ni claironner victoire ; il a fallu plus de dix jours aux services de Monsieur Mboulou pour compter et recompter aussi peu de bulletins ; ils ne devaient pas en croire leurs yeux, ni comment annoncer l’Affaire.

Content de lui, avant qu’on lui communiquât la chose, le Ministre de fanfaronner et de claironner sur RFI le 20 juillet : « Dès le premier tour, le PCT rafle une cinquantaine de sièges sur les 135 de l'Assemblée. Je souhaite bonne chance aux candidats en ballotage et les invite à continuer leur militant respectif, pour que nous ayons le 5 août une élection apaisée, juste et transparente, excluant toute forme de violence ».

Hormis la classe politique en place, et la classe fonctionnelle, laquelle peut ne guère faire autrement que de voter par nécessité, reste la diaspora étrangère aux ordres installée sur le territoire en compensation des Disparus : un bien triste bilan pour Monsieur Raymond Zéphyrin Mboulou par rapport au Peuple qui s’est abstenu dans son expression puisque c’est sa seule façon d’exprimer sa désapprobation massive.

Chiche très simplement pour vérifier et tester expérimentalement la nature profonde de nos concitoyens au lieu de les traiter de « chats » : refaisons dans la transparence les listes électorales ; refaisons des élections législatives ; vous verrez, les chiffres seront inversés car la politique ne se réduit pas pour garder ses privilèges de s’en remettre au ciel en le priant tous les matins, il faut un projet convainquant pour Tous !

Continuons et Poursuivons l’abstention massive pour le second tour d’opérette du 5 août qui n’a aucun fondement assuré, n’étant qu’une péripétie parmi tant d’autres ; la vraie question viendra après, une fois stabilisés nombre d’aspects géopolitiques !

Sans tambour ni trompette et surtout pas les fanfaronnades de Monsieur Mboulou à la place si ingrate pour faire peau «lisse», ce qui est le comble d'un ministre de l'Intérieur, voire bonne figure devant mauvaise fortune, c’est bien d’un carton rouge infligé au PCT/RMP. Un bravo PEUPLE DU CONGO !

Le Gros Chat

Bruxelles, le 2 Août 2012

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